Nous avons publié un calendrier 2017, intitulé “Plages à Belle-île-en-mer”, édité par Calvendo.
Nous vous proposons de découvrir au fil des mois, des plages, paysages marins et une nature sauvage à Belle-île-en-mer, la plus grande des îles bretonnes, située au large du Morbihan (56), en Bretagne sud. Les prises de vues sont toutes aériennes. Elles ont été réalisé par nos soins à l’aide de drone, durant le printemps et l’été 2016.
Reliure à spirales pour une manipulation des pages plus aisée et une tenue parfaitement droite contre le mur;
Calendrier composé de 13 photos en couleur dont couverture;
Calendrier mensuel (12 mois: 1 page/mois), avec jours fériés en France;
14 pages;
Prix TTC conseillés: 22,99 € (A4) et 32,99 € (A3). Les calendriers ne sont pas considérés comme des livres. Il n’existe donc pas de prix unique comme pour les livres (loi Lang). Les revendeurs sont donc libres de fixer le prix qu’ils souhaitent;
Dernière page d’index avec légendes des photos et caractéristiques.
Rencontre-dédicaces le 18 février 2017 à Belle-île
Si vous habitez ou si vous êtes de passage à Belle-île-en-mer (56), j’organiserai une rencontre-dédicaces, le 18 février 2017, à la maison de la presse, à Palais.
Tél. 02 97 31 85 70.
Je serai à votre disposition pour évoquer mon travail de prises de vues aériennes avec drone, les stages photo nature que j’organise à Belle-île et pour dédicacer des calendriers 2017 “Plages à Belle-île-en-mer” (format A4). Plus d’informations sur le sujet…
Où commander le calendrier, en tant que particulier ?
Auprès de votre librairie qui peut se le procurer via le réseau de distribution Sodis (Groupe Gallimard);
[plain]Si vous habitez ou si vous êtes de passage à Belle-île-en-mer (56), le calendrier “Plages à Belle-île-en-mer” 2017 est en vente notamment à la maison de la presse, à Palais.
Tél.: 02 97 31 85 70[/plain]
Deux articles sont parus sur notre calendrier 2017, dans la presse régionale (éditions Auray):
Où commander le calendrier, en tant que professionnel ou commerçant ?
[plain]Notre calendrier est répertorié dans le catalogue du réseau de distribution Sodis (www.sodis.fr) en France, du groupe Gallimard. Les détaillants comme les libraires ou autres professionnels et les grossistes peuvent le commander, pour ensuite le revendre, auprès de:
SA SODIS,
128 avenue du maréchal De Lattre De Tassigny, 77400 Lagny-sur-Marne
Tél.: 01 60 07 82 00 – Fax: 01 64 30 92 22
E-mail : portail@sodis.fr – www.sodis.fr
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N'hésitez pas à nous contacter pour avoir de plus amples informations ou nous demander un devis pour vos projets de prise de vues aériennes. Nous vous répondrons dans les meilleurs délais.
Pour réaliser des vues aériennes originales de votre maison, comme particulier, nous proposons un forfait “Ma maison vue du ciel en Bretagne“. Si vous êtes un professionnel, nous avons aussi des solutions et devis à vous proposer.
Nous avons réalisé un tournage en drone, dans le cadre d’un reportage réalisé par France 2, du groupe France Télévisions, à Belle-île-en-mer (56). L’équipe de tournage était conduite par Jérôme BONY, grand reporter à France 2. Elle a séjourné sur Belle-île-en-mer (56), la plus grande des îles bretonnes, du lundi 9 mai au vendredi 13 mai 2016. L’équipe de France 2 a déterminé des sites intéressants à réaliser pour les prises de vues aériennes, en complément du tournage terrestre.
Arrivée du bateau et contraintes du tournage aérien
Comme à notre habitude, un important travail de préparation a été réalisé en terme de carte aéro, météo, repérage… Le tournage le plus contraignant fut celui de l’arrivée du navire Vindilis devant le port du Palais à Belle-île-en-mer (56). Nous avons dû faire une déclaration préalable en scénario S3 auprès de la Préfecture du Morbihan (56), demander une autorisation de survol à 100 mètres sol/surface auprès de l’exploitant de l’aérodrome de Belle-île-en-mer (CCBI) car les lieux étaient situés dans l’axe et l’emprise directe de l’aérodrome local.
De même, nous avons informé la commune du Palais et la compagnie Océane du tournage aérien. Comme aire d’envol en drone, nous avons choisi l’aire de pique-nique de Ramonette. Elle est située face à la mer, à environ 200 mètres du grand môle de la jetée Nord, du quai Macé, du port du Palais. La zone de décollage présente peu d’habitations à proximité. En effet, la première maison est située à environ quarante mètres. De plus, cette zone en dehors de l’enceinte du Palais est assez peu fréquentée. Le jour même, l’accès à Ramonette avait été fermé à cause de travaux urgents de réfection du bord de route un peu plus loin, suite à l’affaissement côtier jouxtant la plage de Ramonette.
Le Vindilis, un navire à passagers exploité par la compagnie Océane
Le Vindilis (IMO: 9165566) a été mis en service en 1998. Il mesure 48 mètres de long et 12,50 mètres de large. Il peut transporter jusqu’à 399 passagers et 39 véhicules de tourisme. Il effectue la traversée en 45 minutes à une vitesse de 12 noeuds (un peu plus de 22,22 km/h) entre les ports de Port-Maria (Quiberon) et du Palais (Belle-île-en-mer).
Le mercredi 9 mai 2016, la fenêtre météo était correcte. En effet, il y avait un vent Nord-Est de 3 km/h, un indice Kp de 1. Seul le ciel était couvert. Le tournage a été réalisé en 2K (Full HD). Nous avons sécurisé la zone avec des cônes de signalisation, des chevalets d’information et du rubalise pour fermer entièrement l’aire de pique-nique et créer ce que l’on appelle une “zone d’exclusion des tiers“. Avant le décollage et après l’atterrissage du drone, nous étions en contact téléphonique avec l’aérodrome de Belle-île-en-mer (code OACI aérodrome: LFEA), pour sécuriser notre cession de vols vis-à-vis des autres aéronefs en approche de l’aérodrome. Nous avons également effectué un petit vol d’essai afin de tester le drone avant l’arrivée du navire. Nous avions jeté notre dévolu sur le Vindilis qui devait quitter Port-Maria à Quiberon à 11h00 et arriver à quai dans le Port du Palais, après une traversée d’environ 45 minutes. Nous n’avions donc pas plusieurs possibilités de tournage. Heureusement que nous avions prévu large en terme de créneau horaire de déclaration car le navire avait un peu de retard. A mettre sur le compte des aléas de la navigation maritime.
Les deux bouées latérales (rouge et verte) matérialisent le chenal d’entrée/sortie du port du Palais et constituent d’excellents repères pour anticiper la route du navire pour rentrer dans le port. Le navire use également de sa corne de brume, juste avant m’amorcer son virage pour prendre le chenal d’entrée.
En dehors de ces prises de vues, toutes les autres ont été réalisé en pleine nature et en scénario S1, avec des contraintes plus allégées.
La diffusion du reportage télévisé
Ce reportage de France 2 sur Belle-île-en-mer doit être diffusé à l’antenne, lors des Journaux Télévisés du 13h00, du lundi 13 juin au vendredi 17 juin 2016, sous la forme d’un feuilleton, “Belle-Ile à l’heure d’été”, de 5 épisodes de 5 minutes chacun.
Voir les vidéos en ligne des différents épisodes du feuilleton: “Belle-Ile à l’heure d’été”,
du JT du 13h de France 2
Lundi 13 juin 2016:
Feuilleton Belle-Ile à l'heure d'été 1/5 au JT du 13h de France 2
Feuilleton : Belle-Ile à l’heure d’été (1/5) Voir à partir de 01:00, nos prises de vues aériennes en drone de l’arrivée du navire à passagers Vindilis, devant le port du Palais.
Mardi 14 juin 2016:
Feuilleton Belle-Ile à l'heure d'été 2/5 au JT du 13h de France 2
Feuilleton : Belle-Ile à l’heure d’été (2/5) Voir, au tout début, le rappel du premier épisode précédent (arrivée du Vindilis devant Palais) et à partir de 01:43, nos prises de vues aériennes en drone du petit port de Sauzon.
Mercredi 15 juin 2016:
Feuilleton Belle-Ile à l'heure d'été 3/5 au JT du 13h de France 2
Jeudi 16 juin 2016:
Feuilleton Belle-Ile à l'heure d'été 4/5 au JT du 13h de France 2
Feuilleton : Belle-Ile à l’heure d’été (4/5) Voir, au tout début, à partir de 0:13, Port Goulphar vu du ciel, mais également depuis 03:40, les prises de vues aériennes en drone de l’arrivée du navire à passagers Vindilis, devant le port du Palais.
Vendredi 17 juin 2016:
Feuilleton Belle-Ile à l'heure d'été 5/5 au JT du 13h de France 2
Les équipes TV ne sont pas toujours au courant des contraintes de vols en drone, plus particulièrement en zone peuplée. Les préfectures demandent un préavis de 5 jours ouvrables pour les déclarations de survols en drone, en scénario S3. Dans notre cas, nous étions aussi soumis aux aléas de la météo parfois capricieuse et de la navigation maritime. Mieux vaut donc prévoir en amont et large, en termes de jours et de créneaux horaires. Merci à la CCBI, à la commune du Palais, aux services de la Préfecture du Morbihan (56), à la Compagnie Océane et à l’aérodrome de Belle-île-en-mer qui nous ont bien facilité l’organisation de ce tournage aérien.
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Francesca BOCCI, correspondante locale de presse à Belle-île-en-mer, pour le journal Ouest-France, était présente lors du tournage à Sauzon. Suite à notre échange, un article de presse est paru dans l’édition d’Auray, du journal Ouest-France du 12 mai 2016: “Le drone de Denis a filmé l’île pour la télévision“.
Soïg SALAÜN, correspondante locale de presse à Belle-île-en-mer, pour le journal Le Télégramme était présente lors du tournage aérien à Ramonette. Un article est paru dans l’édition d’Auray, du journal Le Télégramme du 15 juin 2016: “Belle-île-en-mer – Télévision. Belle-Ile au JT de France 2“
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Nous avons réalisé un tournage aérien en drone, dans le cadre d’un clip institutionnel pour sensibiliser les touristes au tri des déchets à Belle-île-en-mer (56). Chaque année les visiteurs sont responsables de 35 % des déchets produits sur place. Il devrait être diffusé à partir de l’été 2016 dans les navires de la compagnie Océane qui assurent le transport de passagers vers Belle-île.
Tri des déchets et Communauté de Communes de Belle-île-en-mer
Ce film institutionnel a été commandé par la Communauté de Communes de Belle-île-en-mer (CCBI) en charge de la gestion des déchets, pour les quatre communes de l’île: Le Palais, Bangor, Sauzon et Locmaria. Belle-île-en-mer est la plus grande île bretonne située à 45 minutes au large de Quiberon, dans le Morbihan (56), en Bretagne Sud. Ce clip éducatif a été financé par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).
L’enjeu
Seuls 40 % des déchets produits sur l’île sont envoyés sur le continent. Ce sont les déchets recyclables et les bennes issues de la déchèterie. 60 % des déchets restent donc sur place. “D’où l’importance d’un tri bien compris”, souligne Benoît DANIEAU, animateur du programme de prévention des déchets à la communauté de communes de Belle-Ile (CCBI). En 2015, 2500 tonnes d’ordures ménagères résiduelles ont ainsi été enfouies à Chubiguer. Or, le site a une capacité limitée.
Lieu du tournage aérien: déchèterie de Chubiguer
Le tournage a eu lieu sur le site de la déchèterie de Chubiguer sur la commune de Le Palais. L’objectif était de montrer le site et la zone d’enfouissement relativement étendue.
Les contraintes du tournage aérien
Un important travail de préparation a été réalisé en terme de carte aéro, repérage, choix des paramètres de prises de vue…Nous avons notamment réalisé un repérage sur site avec Stéphane MAUGER (Les tempestaires), le réalisateur, le 24 février 2016. Il n’est pas toujours facile de voler en drone à Belle-île-en-mer car nous sommes situés en plein océan Atlantique et donc soumis plus facilement aux vents. Sinon, le site est entouré de lignes moyenne tension. De plus l’aérodrome local est situé à 3 km à vol d’oiseau. Dans la zone, il y a une hauteur de vol limitée à 50 mètres à cause de son emprise (50 mètres ARP, c’est-à-dire par rapport à l’altitude de l’infrastructure, selon certaines interprétations). J’ai donc dû demander une autorisation de vol jusqu’à 150 mètres à l’exploitant de l’aérodrome qui est aussi la CCBI. Pour finir, la zone d’enfouissement des ordures a sédentarisé des milliers de goélands. Même si j’avais lu quelques études sur l’approche des oiseaux en drone, une telle concentration d’oiseaux de mer, excités par la nourriture, pouvait poser problème. En effet, notre quadricoptère est à peine plus gros qu’un goéland. Une collision en plein vol avec un ou plusieurs goélands et c’est la crash assuré. Pour finir, un représentant du commanditaire du film, le réalisateur, le responsable d’exploitation du site et Gérard LOUBENS, correspondant local de presse pour Ouest-France étaient présents. Il fallait donc sécuriser leur présence en délimitant une zone. Ils ont été invité à signer une attestation afin de séjourner dans la zone d’exclusion des tiers après avoir pris connaissance des consignes de sécurité. Pour terminer, une zone d’enfouissement de déchets ne sent pas la rose ou le jasmin, en plein soleil, mais cela reste malgré tout supportable.
Le tournage aérien
Le lundi 18 avril 2016, la fenêtre météo était idéale. En effet, il y avait un vent Ouest-Sud-Ouest de 2 à 10 km/h, un indice Kp de 2, un ciel bleu avec peu de nuages. Cela faisait plusieurs semaines que nous attendions de bonnes conditions de vol. Nous nous sommes donnés rendez-vous à 14h00 avec Stéphane MAUGER, le réalisateur, afin de préparer le matériel, d’étudier le meilleur point d’envol, évoquer les scènes qu’il souhaitait tourner, après avoir signé le registre de présence du site et enfilé un gilet de sécurité. Une fois toutes les personnes habilitées présentes, après les préparatifs, les consignes de sécurité précisées et la sécurisation de la zone, nous avons appelé l’aérodrome pour demander l’autorisation de débuter la cession de vols. Le tournage a été réalisé en 4K (Ultra HD), avec un filtre polarisant. Nous avons effectué un petit vol d’essai afin de voir si les lignes moyenne tension à proximité du site pouvait créé des interférences au sujet de la liaison avec le drone. Même chose, pour voir la réaction des milliers de goélands sédentarisés sur place. Pas d’incidence en terme d’interférence. Pour les oiseaux, nous avons eu droit au décollage de quelques centaines de goélands. Nous avons commencé par réaliser une vue générale du site en prenant une bonne altitude bien au dessus des goélands en vol. Commanditaire et réalisateur pouvait suivre les prises de vues depuis une tablette numérique (iPad) en plus de l’écran de contrôle de la radiocommande du télépilote. Des talkies-walkies ont été aussi utilisé afin de communiquer avec le conducteur du camion benne qui devait faire une marche arrière pour déverser ses déchets sur la zone d’enfouissement. Le drone a réalisé un panoramique en arc de cercle jusqu’à faire un plan plus serré sur l’arrière du camion qui basculait sa benne. Par contre, à partir de cet instant, cela a été une toute autre histoire. En effet, la présence de déchets frais a excité une nuée de milliers de goélands qui ont pris leur envol. Mais, une approche lente et prudente du drone ne les a pas effrayé ou rendus agressifs. Certains se sont même permis d’éviter le drone en faisant un écart en vol. Face à des milliers de goélands en vol, la crainte est bien évidemment de “finir au tapis”. Nous avons aussi réalisé quelques photos aériennes du site pour l’occasion. Pour finir, nous avons rappelé l’aérodrome de Belle-île-en-mer (code OACI aérodrome: LFEA), pour préciser que notre cession de vols était terminée.
Un travail d’équipe
Afin de réaliser un film cohérent avec un fil conducteur, le réalisateur a fait le choix d’un traitement pédagogique, avec des conseils à la clef. L’ensemble de la postproduction (dérushage, montage, étalonnage…) sera réalisé par Stéphane MAUGER (Les tempestaires). Benoît DANIEAU, animateur du programme de prévention des déchets à la communauté de communes de Belle-île-en-mer (CCBI) représentait le commanditaire du film et Alexandre JAN, représentait, lui, la COVED (Filiale de gestion de déchets du groupe SAUR), comme responsable d’exploitation du site de la déchèterie de Chubiguer à Le Palais (Belle-Ile-en-Mer).
Le clip vidéo “Zéro déchet”, une fois monté et validé par la CCBI
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Voir la vidéo à partir de 0:28 pour les images vidéo en 4K que nous avons réalisé en drone.
Le retour d’expérience
En outre, le tournage s’est déroulé sur un site interdit au public, avec une enceinte fermée ce qui a facilité la sécurisation des lieux. Tout s’est parfaitement déroulé, mais c’est toujours plus difficile face à certaines inconnues. La présence et réaction d’une importante concentration de goélands face au vol d’un drone en faisait partie.
Nous avons dû aussi faire preuve d’imagination pour réaliser un film agréable à regarder et intéressant, sur un lieu qui n’est pas forcément des plus attirant. Il fallait également bien coordonner le trajet du camion benne avec l’arrivée du drone en terme de sécurité et d’images. L’utilisation de talkies-walkies nous a grandement aidé. Merci à la CCBI, à l’ensemble du personnel du site de la déchèterie de Chubiguer, de l’aérodrome de Belle-île-en-mer qui nous ont bien facilité l’organisation et la réalisation.
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